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Famille

Crèches pour enfants : le choix de l’éducation positive

Choisir une crèche pour son enfant qui pratique l'éducation positive

Vous recherchez un mode de garde pour votre bébé à venir ? La plupart des parents choisissent soit une assistance maternelle agréée, soit la crèche. Qu’il s’agisse d’ un accueil régulier, occasionnel ou d’urgence, les crèches sont encadrées par des professionnels où l’enfant évolue dans un environnement adapté à son rythme. Certaines privilégient une méthode éducative particulière, d’autres font un mixte. Pour de jeunes parents à la recherche d’une crèche pour leur enfant, c’est parfois bien difficile parfois de se retrouver parmi les différentes méthodes qu’elles proposent. Il existe de nombreux courants éducatifs, plus ou moins connus du grand public, comme les pédagogies Montessori, Freinet, Piclkler, Reggio Emilia…

Et si, au final, un réseau de crèches qui opte pour un mixte de plusieurs méthodes n’était pas la meilleure solution ? Car que souhaite-t-on pour son petit au final ? Son bien-être et son épanouissement avant tout ! Qu’il évolue à son rythme, et développe ses potentialités. Qu’il puisse jouer en toute sécurité, bouger, exprimer sa personnalité, sa curiosité, sa créativité… Qu’il ait confiance en lui, qu’il apprenne, qu’il prenne sa place dans le monde, avec une relation positive aux autres. Qu’il soit éveillé à l’art, à la culture, à la nature…

L’éducation positive pour le plein développement de l’enfant

En ce sens, une crèche qui pratique l’éducation positive fait souvent l’unanimité. Derrière cette expression très tendance (il n’y a qu’à voir le nombre d’ouvrages disponibles, d’articles, de posts de blog de parents consacrés au sujet), on retrouve des techniques d’éducation bienveillantes visant le plein développement de l’enfant. Elle s’appuie sur les découvertes en neurosciences et sur les lois naturelles d’apprentissage de notre cerveau.Ce qui passe par le respect de sa colère, par l’écoute, et par la parole. L’éducation positive va souvent de paire avec la communication non violente (CNV), une manière de s’exprimer basée sur l’empathie ; on respecte les émotions de chacun.

L’éducation positive s’appuie sur les découvertes en neurosciences et sur les lois naturelles d’apprentissage de notre cerveau.

Un autre point important est que l’on fait l’enfant anticiper les conséquences de ses actes. On l’aide ainsi à comprendre quel intérêt il a à faire ou ne pas faire telle ou telle chose… De même, les bêtises sont utilisées comme support d’apprentissage, ; ainsi on préfère encourager plutôt que punir ou récompenser, Et bien sûr, on manifeste son affection !

Si vous souhaitez en savoir un peu plus sur l’éducation positive, je vous conseille vivement la lecture de Au cœur des émotions de l’enfant, d’Isabelle Filliozat.

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1 Comment

  • Maïlys LD
    16 janvier 2021 at 19 h 09 min

    Pour avoir étudié un peu les différentes pédagogies (je suis en cours de rédaction d’un article sur le blog), je me suis vite rendu compte que tous ces pédagogues avaient plus ou moins les même principes de base. Le même objectif. Je n’ai jamais trop su me fier aux différents courants pédagogiques, quand on me dit qu’il s’agit d’une crèche Montessori, Freinet ou Pickler. Je trouve ça tellement dommage, en tant que professionnel, de se cantonner à une seule pédagogie que ça ne m’a jamais trop plus. Souvent en plus, les idéaux pédagogiques sont poussés à l’extrême, pas forcément en accord avec les écrits de base des pédagogues – et au final, ça laisse peu de liberté et beaucoup de frustrations. Je trouve tellement plus important d’agir le plus positivement possible, avec le plus de bienveillance possible, avec des méthodes qui laissent les enfants explorer et apprendre à leur guise (très peu le cas dans les crèches dans lesquelles j’ai pu travailler) que finalement, je fuis un peu les crèches labellisées ou qui se vantent de suivre une seule pédagogie sans marge de manœuvre. J’avais adoré Au cœur des émotions de l’enfant, je l’ai lu à mon tout premier emploi en tant qu’auxiliaire parentale car j’avais du mal à me faire comprendre et pallier et comprendre les crises de larmes d’une petite fille de 3ans. Ça a été le déclic pour moi, j’ai complètement changé de manière d’agir et de manière de voir les choses. Depuis je suis beaucoup plus tranquille avec les enfants dont je m’occupe, je fais attention à ma manière d’agir, de communiquer, je pose beaucoup moins d’interdits, je les laisse vivre, expérimenter, être des enfants en somme. Sans mes peurs d’adultes, sans mes conditionnements d’adulte et en oubliant tout ce qui m’a été transmis par les familles sur ce qui « doit se faire » ou « ne doit pas se faire ». 🙂

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